mardi 17 février 2009


Susie Morgenstern. Un bel autoportrait, sous la forme du dictionnaire de sa vie. Une lecture magnifique, que je ne peux que conseiller (voir"les auteurs de l'école des loisirs"). J'aimais déjà cet auteur avant même de lire ne serait-ce qu'un seul de ses livres.


J'ai adoré un bon nombre de ses livres. Ils me rappelaient des choses, tout en me laissant me les approprier.
J'aurais donc, pourtant, dû adorer "La première fois que j'ai eu seize ans". Le titre est accrocheur, et ça sent le récit faussement fictif, de l'autobiographie de derrière les fagots. Enfin, je vais l'avoir sur des pages à dévorer mon auteur.
Déception. Déception. Déception. Déception.
A tous ceux qui découvre la grande Susie, ne lisez pas ce livre si vous me ressemblez un tant soit peu. L'aspect cucul et geignard de certains de ses personnages est génial, tant que ce n'est qu'un ressort scénaristique pour faire évoluer le personnage.
Pour ma part, j'ai un peu de mal avec les réunions filles entre soeurs, et la tristesse pendant des pages et des pages car on est plus grosse que sa mère, et comme c'est difficile, houlala, de faire du trombonne dans l'orchestre pour garçons de l'école (et gnagnagna et gnagnagna).
Désolée pour ceux qui aiment, mais autant j'apprécie réellement mes lectures de Susie Morgenstern, autant celle-ci m'a insupportée au plus haut point. Le côté cucul sans doute.
Jetez-vous plutôt sur ses autres écrits, il y en a tellement, pourquoi lire ce rrrrrrrrrrrrrrr... Oh! Pardon! Rien que de repenser à ce livre, je me suis rendormie...

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